La Dame de Pique d'Alexandre Pouchkine

Pour Olivier Barrot, « tout Pouchkine mérite d'être lu ou relu, en particulier cette extraordinaire nouvelle composée en 1833, La Dame de Pique, et qui fut traduite en français par Mérimée et puis André Gide. Hermann, un Allemand émigré en Russie, croit savoir qu'une vieille aristocrate connait le moyen de gagner à tous les coups à ce jeu de cartes appelé le pharaon. Alors, une nuit, il lui rend visite... »