Les jobs étudiants, avec Nota Bene

Nota Bene, laisse les vikings et la mythologie de côté, pour parler d'une manière très concrète sur les jobs étudiants et les jobs d'été. Et parce qu’un débat ne peut pas se faire tout seul, il fait appel à Valentine, Louis et Jean, qui partagent leurs expériences.

Quelles motivations pour choisir un job étudiant ? 

La dimension pécunière arrive en priorité. Cela répond à des envies d’achat plus ou moins important et vital, ou un moyen de prévoir de grosses dépenses dans l’année à venir (loyer ou les charges). Enfin, selon le poste, cela peut être une expérience à valoriser sur un C.V., les petits jobs qui sont disponibles, sont parfois loin de ses rêves mais si on est retenu, c’est une vraie victoire ! 

Est-ce que c’est compatible avec des études ? 

L’emploi du temps universitaire permet généralement des aménagements, car celui du travail est souvent strict. Quand on a un travail pour des raisons financières, cela peut-être un sacrifice personnel sur le temps de sommeil, sur les cours, les études. Si le travail empêche d’étudier, le cercle vertueux est brisé. Heureusemet des solutions existent : 

• le RSE, Régime spécial d’études qui permet un aménagement des études, dans un cadre défini légalement, pour permettre de cumuler études et travail. Attention toutefois, un travail physique trop intense peut -être aussi une cause d’abandon des études.
• Un prêt étudiant, qui permet de plannifier ses dépenses, mais au-delà des sacrifices personnels en cours d'année, il faut aussi avoir conscience qu'il va falloir rembourser le prêt quelque soit les résultats scolaires. 

Comment se passe le parcours de recrutement ? 

C’est assez sommaire, la lettre de motivation est plutôt là pour contrôler le niveau de français. Le C.V. obligatoire, mais pas toujours en lien avec le métier. Pendant l’entretien, c’est l’occasion de montrer sa motivation, être franc peut-être une piste, mais tout dépend du manager.