Mauvaise réponse !

Baudelaire n'est pas partisan d’une poésie libre, qui s’affranchit des règles de la versification. Pour lui c'est important de respecter la versification : en cela, il est en rupture avec les romantiques.

Mauvaise réponse !

Le spleen, très présent dans Les Fleurs du mal, désigne une profonde mélancolie. Cette frustration est liée à la possibilité d’un idéal de vie non réalisé, mais auquel le poète ne renonce pas. Le spleen est cependant porteur d’espoir, même dans les textes les plus sombres.

Mauvaise réponse !

Ces deux oeuvres sont très proches, mais Baudelaire publie successivement en 1857, les Fleurs du mal, puis en 1860, les Paradis artificiels. Une seconde éditions des Fleurs du mal survient quelques années après avec un suppression de certaines parties, suite à un procès pour « outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs ».

Mauvaise réponse !

Baudelaire dédie Les Fleurs du mal à Théophile Gautier. Il ressent pour l'écrivain une vive admiration comme le prouve la dédicace : « Au poète impeccable, au parfait magicien ès Lettres françaises ». 

Mauvaise réponse !

Victor Hugo a une grande admiration pour Baudelaire, admiration réciproque mais plus ambiguë pour le second. Dans « Les Fleurs du mal », deux poèmes sont dédiés à l'écrivain : Les Sept vieillards et Les petites vieilles.

Mauvaise réponse !

Si Victor Hugo écrit de longs poèmes. Baudelaire, lui, respecte la versification car il considère que la contrainte en poésie est de la plus haute importance. Elle est une langue supérieure qui permet de faire surgir des idées en peu de mots.

Mauvaise réponse !

« Spleen » en anglais signifie « la rate », l’organe. Dans la médecine ancienne, on considérait que cet organe était responsable de la mélancolie. Baudelaire popularise le terme « spleen » par ses poésies.

Bonne réponse !

Dans le poème « Spleen » de Charles Baudelaire, la chauve-souris est ici une allégorie (l’incarnation d’un symbole, d’une abstraction) de l’espérance. Quant aux barreaux, une métaphore pour évoquer la prison.

Mauvaise réponse !

L'expression « poète maudit », née du roman éponyme de Paul Verlaine, désigne un poète très talentueux qui est en décalage avec son époque, comme Baudelaire. Il est provocateur et mène souvent une vie de débauche (alcool, drogues…). Généralement, le poète maudit meurt avant d’avoir connu le succès.

Mauvaise réponse !

La brièveté et les règles strictes sont, selon lui, nécessaires pour atteindre un langage poétique doté d’une réelle force évocatoire.