La pollution sonore

En se rendant chez Augustin, qui habite près d’un aéroport. Le Scooby-Gang découvre les conséquences de la pollution sonore, sur notre santé et celle des animaux.

Comment se mesure le son ?

L’intensité du son se mesure en décibels, sur une échelle de 0 à 140 décibels. 

• 0 décibel correspond au silence.
• le niveau sonore de 50 décibels correspond à l'ambiance d’une bibliothèque, au calme.
• A partir de 70 décibels, comme à la cantine, une fatigue peut apparaître.
• Le bruit de la circulation intense, qui est équivalent à 90 décibels, peut vite devenir insupportable.
• Un risque apparait pour nos oreilles dans les concerts où le son peut atteindre 110 décibels.
• Enfin, à partir de 140 décibels, le niveau qui correspond au bruit des réacteurs d’un avion, on peut devenir sourd.

L’impact de la pollution sonore sur les animaux

La pollution sonore n’impacte pas seulement les humains. Les animaux sont également touchés, sur la terre et en milieu marin.

• Les oiseaux ne supportent pas le bruit des moteurs. Ils se retrouvent à chanter plus fort, mais aussi à quitter leur nid, ce qui fragilise la biodiversité.
• Chez les grenouilles et plus précisément, les rainettes, les mâles ne peuvent plus faire la cour aux femelles, en chantant.

Le bruit sous-marin

Le fond de nos océans est loin d’être silencieux. En cause, les bruits des humains et le fait que le son se propage quatre fois plus vite sous l'eau, que dans l’air. Par exemple, la baleine bleue qui utilise le son pour chasser et communiquer, se retrouve vite désorientée, à cause du bruit des sonars ou des hélices des bateaux.

La méthode Akira Miyawaki contre le bruit

Akira Miyawaki est un botaniste japonais, c’est-à-dire qu’il est spécialisé dans le monde végétal. En plus de restaurer les forêts, la méthode qui consiste à planter des arbres très proches les uns des autres, permet aussi d’absorber le bruit de la ville.