Mauvaise réponse !

Le classicisme domine le XVIIe siècle, notamment sous le règne de Louis XIV. Il prône la clarté, la rigueur, la bienséance et l'imitation des auteurs de l’Antiquité, qu’on appelle les Anciens.

Mauvaise réponse !

Selon la célèbre formule d’Aristote, le but de la tragédie est de provoquer la catharsis, c‘est-à-dire la purgation des passions : assister aux malheurs des personnages tragiques doit nous libérer de nos propres passions et nous permettre d’être plus mesuré.

Mauvaise réponse !

Ces règles, théorisées par Nicolas Boileau et inspirées d’Aristote, imposent qu’une pièce se déroule en un seul jour (unité de temps), en un seul lieu (unité de lieu) et qu’elle suive une seule intrigue principale (unité d’action).

Mauvaise réponse !

La bienséance impose le respect des mœurs et des convenances. Certaines actions doivent être racontées, mais jamais montrées sur scène.

Mauvaise réponse !

Les héros tragiques sont issus de la noblesse, car leur destin doit être exemplaire et susciter l’admiration et la pitié.

Bonne réponse !

Les tragédies sont écrites dans une langue soutenue, souvent en vers de douze syllabes : l’alexandrin.

Mauvaise réponse !

Jean Racine est un maître de la tragédie classique, célèbre pour la pureté de son style et la force de ses personnages féminins.

Mauvaise réponse !

La pièce a déclenché la « querelle du Cid » car certains critiques lui reprochaient de ne pas respecter les règles classiques, notamment la vraisemblance et la bienséance.

Mauvaise réponse !

La tragédie classique montre comment les passions excessives (jalousie, orgueil, amour interdit…) peuvent conduire à la perte. Elle fait réfléchir sur le destin, la responsabilité et la morale.