Mauvaise réponse !

Kadhafi débarque à Paris pour une spectaculaire visite de 2 jours, marquée par la question des ventes d'armes. En effet, il a exigé une visite officielle d'une nation occidentale, lui offrant une reconnaissance internationale, contre le plus gros contrat d'armement jamais négocié.

Bonne réponse !

En 1973, Kadhafi est reçu à l'Élysée avec tous les honneurs dus à un chef d'État.

Mauvaise réponse !

Kadhafi a besoin du soutien diplomatique de la super puissance d'après la guerre froide. Jusqu'à la disparition de l'URSS en 1991, la politique étrangère des États-Unis consiste à contenir le danger communiste et l'influence soviétique dans le monde. Avec la chute de l'URSS, les États-Unis demeurent l'unique grande puissance mondiale.

Bonne réponse !

Les Occidentaux ne cherchent pas à explorer d'autres pistes que celle de la Libye : Kadhafi est le coupable « commode » des attentats de Lockerbie en 1988 et du Niger en 1989. La personnalité flamboyante et singulière du dirigeant libyen y est pour beaucoup. Le caractère particulier de Kadhafi a fréquemment suscité des interrogations sur la scène internationale.

Mauvaise réponse !

Le colonel Kadhafi n'a reconnu qu'une semi responsabilité dans ces attentats. Il s'est défié de les avoir initiés et d'y avoir participé directement, tout en admettant qu'il n'était pas impossible que les services secrets libyens y soient mêlés...

Mauvaise réponse !

L'embargo est une mesure coercitive qui s'appuie sur des moyens diplomatiques, judiciaires et militaires. En 1992, le Conseil de sécurité de l'ONU décrète un embargo aérien et militaire contre la Libye. Il est aggravé, en 1993, par le gel des avoirs financiers libyens à l'extérieur, avant d'être étendu aux biens d'équipement pétroliers.

Bonne réponse !

En 1980, la fusion du Tchad, traditionnellement considéré comme un bastion de la « Françafrique », et de la Libye suscite la réprobation de la France. Paris accuse en effet Kadhafi d'ingérence au Tchad, et envoie à 2 reprises son armée contre l'avancée des forces soutenues par l'armée libyenne.

Mauvaise réponse !

Dès 1994, Ben Laden dépêche des djihadistes libyens dans leur pays pour tuer Kadhafi et renverser la Jamahiriya. Il devient alors « l'ennemi mortel » de Kadhafi. Ce dernier n'a alors de cesse d'agiter le spectre du terrorisme international. Il accuse Ben Laden de « manipuler » les Libyens.

Bonne réponse !

L'administration américaine désigne comme « États terroristes » des pays suspectés de soutenir le terrorisme et de chercher à se procurer des armes de destruction massive. La Corée du Nord, l'Iran, l'Irak, et notamment la Libye, forment ce que les néo-conservateurs ont appelé « l'axe du Mal ».

Mauvaise réponse !

Investie d'une mission humanitaire par le président français, et accompagnée de la commissaire européenne apportant le soutien officiel de toute l'Union européenne, Cécilia Sarkozy s'est rendue à Tripoli pour obtenir l'extradition des 6 prisonniers bulgares.

Bonne réponse !

En 2007, les Français obtiennent la libération des infirmières et du médecin bulgares détenus en Libye depuis 1999. Les tractations auraient porté sur des contrats d'armement et une visite officielle prestigieuse à Paris pour Kadhafi.

Bonne réponse !

La Commission européenne est l'une des principales institutions de l'Union européenne. Instituée par le Traité de Rome en 1957, elle est composée d'un commissaire par État membre. Son siège est situé à Bruxelles. Elle joue un rôle central de garante envers « l'intérêt général » de l'Union européenne.

Mauvaise réponse !

Des opérations humanitaires étaient menées dans l'hôpital de Benghazi. Les services médicaux libyens y découvrirent plus de 400 enfants infectés par le VIH. À la suite d'une enquête judiciaire, les 5 infirmières et le médecin bulgares furent arrêtés, incarcérés et condamnés à mort.

Mauvaise réponse !

L'arrestation et les accusations portées contre les infirmières et le médecin bulgares ont été, une nouvelle fois, l'occasion pour Kadhafi de démontrer à l'Occident ses talents de fin négociateur, et de tirer prestige de la résolution de cette affaire.

Mauvaise réponse !

La Journée internationale des droits de l'homme est célébrée, chaque année, partout dans le monde, le 10 décembre. Elle honore l'adoption, par l'Assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948, de la proclamation de la Déclaration universelle des droits de l'homme.