Mauvaise réponse !

La méthode aléatoire consiste à sélectionner des individus au hasard et la méthode des quotas à sélectionner des personnes dont les caractéristiques sociales principales (âge, genre, profession, niveau d’études...) sont représentées dans les mêmes proportions que la population à étudier.

Mauvaise réponse !

Pour être considéré comme étant représentatif, l’échantillon de personnes interrogées doit être d’une taille suffisamment importante. On considère pour cela qu’il faut recueillir l’opinion d’au moins 1 000 personnes.

Bonne réponse !

Les sondages doivent laisser la place aux personnes qui ne se retrouvent pas dans les questions posées et les choix proposés : c’est le fameux « ne se prononce pas » (NSPP). Les sondages doivent également tenir compte des marges d’erreur, en communiquant sur les intervalles de confiance.

Mauvaise réponse !

Nombreuses sont les voix qui s’élèvent pour contester la capacité des sondages à refléter fidèlement l’opinion publique. Parmi elles, celle de Pierre Bourdieu qui affirme dès 1973 que les sondages n’enregistrent pas l’opinion publique, mais plutôt qu’ils la créent.

Mauvaise réponse !

Parmi les principales critiques émises sur les sondages, on peut noter le risque de biais dans les questions posées, ainsi que le risque d’invisibilisation des opinions minoritaires et des débats d’opinion sur le sujet étudié.

Mauvaise réponse !

L’effet « bandwagon » (littéralement « prendre le train en marche »), ou effet de contagion, correspond au processus par lequel un candidat en tête des sondages gagne en popularité grâce aux électeurs qui sont tentés de voter pour le vainqueur pressenti.

Mauvaise réponse !

En France, les sondages d’opinion en rapport direct ou indirect avec une élection ont interdiction d’être publiés ou diffusés la veille du jour de chaque tour de scrutin, ainsi que le jour du vote. Les journalistes ne peuvent donc pas commenter de sondages lors de cette période de réserve.