Bonne réponse !

Hugo est connu pour être un écrivain très engagé. En 1848, il est élu député de Paris. En décembre 1851, il doit vivre en exil dans les îles Anglo-Normandes jusqu'à la fin du second Empire en septembre 1870, car il s'oppose au régime autoritaire de Napoléon III.

Bonne réponse !

Dix ans après la mort de sa fille Léopoldine, Hugo s’initie au spiritisme. Il rapporte avoir pu communiquer avec des centaines d’esprits. Il est probable qu’il ait en fait souffert de psychose provoquant des hallucinations...

Mauvaise réponse !

Les Contemplations est un recueil de poèmes, publié en 1856. Il est composé de 158 poèmes rassemblés en six livres. Le recueil s’organise en deux parties, intitulées « Autrefois » et « Aujourd'hui », comprenant chacune trois chapitres.

Mauvaise réponse !

Cosette s’appelle en fait Euphrasie. C’est un personnage deutéragoniste, c’est à dire secondaire, du roman Les Misérables. Cosette est une gentille fille attachante, douce, courageuse et intelligente. Son nom est devenu le synonyme d'enfant maltraité, voué aux tâches domestiques.

Mauvaise réponse !

Dans ce poème en alexandrins, Victor Hugo montre son attachement pour les enfants, ces « doux êtres pensifs ». Il dénonce le travail dur et pénible des enfants, notamment dans les usines. On compare souvent ce poème aux Misérables, car ce poème critique l’injustice sociale.

Mauvaise réponse !

A l’époque, la cathédrale est dans un tel mauvais état qu’on envisage de la détruire ! Grâce à l’énorme succès de son livre, sorti en mars 1831, Notre-Dame, lieu de l’intrigue du roman, bénéficie de travaux de rénovation dès 1845.

Mauvaise réponse !

Sa lutte commence avec Le Dernier jour d’un condamné. Hugo essaie de se mettre à la place d’un condamné, à qui il ne reste que quelques heures à vivre. Ce combat pour l’abolition de la peine de mort devient une obsession, présente dans plusieurs romans tels Notre-Dame de Paris ou Les Misérables.

Mauvaise réponse !

Le 9 juillet 1849, il accuse le pouvoir de ne pas agir face à l’extrême pauvreté. Il affirme que la misère n’est pas une fatalité mais un fléau social à combattre : « Je suis de ceux qui pensent et qui affirment qu'on peut détruire la misère. »

Mauvaise réponse !

En 1885, Hugo meurt à 83 ans. Ses funérailles à Paris sont à la mesure de l’impact qu’il a eu sur les Français. Le gouvernement organise des funérailles nationales et près de 2 millions de personnes suivent le cortège, de la place de l'Etoile au Panthéon.