Mauvaise réponse !

Francis Ponge s’intéresse aux objets du quotidien. Selon lui, l’objet doit être au premier plan et primer sur toute forme verbale ou poétique. Dans Berges de la Loire, il dit : « En revenir toujours à l'objet lui-même, à ce qu'il a de brut, de différent. »

Mauvaise réponse !

Dans La Rage de l'expression, Ponge est la recherche de l'expression la plus juste. Dans Le Mimosa, il dit « Oh ! qu'il est difficile d'approcher de la caractérisques des choses. » Ponge cherche aussi à renouveler l'art de la poésie, qu'il désacralise.

Bonne réponse !

Le recueil est divisé en 7 sections, qui font toutes référence à la nature (Berges de la Loire, La Guêpe, Notes prises pour un oiseau , L’Œillet , Le Mimosa, Le Carnet du Bois de pins, La Mounine).

Bonne réponse !

Francis Ponge ne se considère pas poète, mais savant. Pour lui, la poésie exige une approche objective et scientifique. Il n’hésite pas à consulter le dictionnaire comme Le Littré ou d’autres ouvrages à caractère scientifique pour écrire ses poèmes.

Mauvaise réponse !

Dans La Guêpe, dédié à Jean-Paul Sarte et Simone de Beauvoir, Francis Ponge explore la langue française, pour donner la définition la plus juste de l'insecte. Il rompt ainsi avec la poésie traditionnelle, en s'intéressant à l'infiniment petit. 

Mauvaise réponse !

Dans La Mounine, Ponge personnifie la nature. La personnification est une figure de style qui attribue des caractéristiques humaines à un objet, un animal, ou à une idée abstraite. 

Mauvaise réponse !

Contrairement à la poésie traditionnelle, Ponge nous dévoile ses efforts et ses difficultés dans sa quête du mot juste. 

Bonne réponse !

En 1984, Ponge reçoit le Grand prix de poésie de l’Académie française, pour l'ensemble de son œuvre poétique.