Mauvaise réponse !

Alors qu’avec le fleuret et l’épée, la touche ne se fait qu'avec la pointe, les sabreurs peuvent aussi toucher avec le tranchant de la lame. Ce sont donc les seuls à pouvoir porter des coups en diagonale.

Mauvaise réponse !

C’est au fleuret que la surface valable est la plus petite. Elle ne comprend que le tronc, sans les bras et la tête. Au sabre, on peut toucher tout ce qui se trouve au-dessus de la taille, à l'exception des deux mains. Quant à l’épée, on peut marquer un point sur toutes les parties du corps.

Mauvaise réponse !

Si les deux épéistes touchent en même temps, alors ils ont 1 point chacun. Au fleuret comme au sabre, le point est donné au premier qui a initié l’attaque.

Mauvaise réponse !

Pour indiquer qui a touché, chaque escrimeur a une couleur attribuée, verte ou rouge. Au fleuret, la lumière est blanche lorsque les touches ont été portées en dehors de la zone du corps valable.

Mauvaise réponse !

Lors des épreuves individuelles, le premier tireur qui marque 15 touches est déclaré vainqueur. Si les 15 touches n’ont pas été marquées avant la fin du temps réglementaire, le tireur ayant le plus de points qui gagne la partie. Lors des épreuves par équipes, la victoire est attribuée à celle qui en marque 45.

Bonne réponse !

Longue de 14 mètres, la piste sur laquelle les tireurs s'affrontent comporte une ligne centrale, une ligne de mise en garde, une ligne d'avertissement, et une zone de fond. Si les deux pieds du tireur sortent sur les côtés de la piste, il est pénalisé d’une perte de terrain d’un mètre. Si les deux pieds sortent de la zone de fond, il est considéré comme touché.

Mauvaise réponse !

En escrime, le français est obligatoire pour l'arbitrage lors des compétitions internationales. Il s'agit de la langue officielle de ce sport, car les premiers règlements officiels ont été rédigés par deux Français.

Mauvaise réponse !

Léger et flexible, le fleuret était à l’origine une arme d’entraînement. Sa pointe est protégée par un bouton appelée à l’origine « fleur de laine », remplacé par le terme « mouche » aujourd’hui. Ce qui a donné l’expression « à fleurets mouchetés » qui signifie sans intention de blesser.