Mauvaise réponse !

Rimbaud multiplie les fugues, les voyages, les errances. Ses idées marginales le conduisent jusqu'au Yémen et en Éthiopie. Il devient négociant, explorateur. il écrit plus de 180 lettres familiales et professionnelles et des descriptions géographiques.

Mauvaise réponse !

Le poème Le Pont Mirabeau traite de la disparition de l'amour avec le passage du temps. On le voit notamment avec la métaphore de l'écoulement de la Seine sous le pont Mirabeau à Paris.

Mauvaise réponse !

Phèdre est un auteur grec né autour de 16 avant J.-C. C'est un esclave affranchi qui apprend très vite le latin. Il publie 123 fables contenues dans 5 livres, au sein desquelles il met en scène des animaux.

Mauvaise réponse !

Dans ce célèbre poème, extrait du recueil « Les Contemplations » (1856), Hugo parle à sa fille décédée. Il utilise l’hypotypose qui donne à penser jusqu’à l’avant dernier vers, que le poète a un rendez-vous amoureux.

Bonne réponse !

Paru en 1961, Cent mille milliards de poèmes de Raymond Queneau est un véritable exploit littéraire. Le lecteur peut composer des sonnets, c'est-à-dire deux quatrains suivi de deux tercets, soit une possibilité de près de cent mille milliards de poèmes.

Mauvaise réponse !

Alcools n'est pas un roman mais un recueil de poèmes de Guillaume Apollinaire qui traite, entre autres, du temps qui passe et de l'amour. Alcools a été classé 17^e dans le classement des 100 meilleurs livres du XX^e siècle par le journal Le Monde, en 1999. 

Mauvaise réponse !

Le poète André Breton rencontre Aimé Césaire lors de son voyage à la Martinique pendant la Seconde Guerre mondiale. Il rend hommage à Aimé Césaire dans son texte « Martinique charmeuse de serpents ». 

Bonne réponse !

Le jeu du cadavre exquis, qui consiste à composer une phrase à plusieurs sans voir ce qui a été écrit avant, est une invention de Jacques Prévert. Le nom du jeu vient de la première phrase qui a été composée ainsi : « Le cadavre – exquis – boira – le vin – nouveau ».

Mauvaise réponse !

Dans son poème Presque, Jacques Prévert confronte le bonheur et le malheur : « Le malheur qui pense à tout... - À tout  - À tout... à tout... à tout  - Et à tout ». Avant que le poète ne rompe le rythme avec les deux derniers vers : « Et qui gagne "presque" à tous les coups  - Presque ».