Mauvaise réponse !

La macroéconomie étudie les relations et les équilibres entre les grandeurs globales de l’économie, appelées aussi agrégats que sont le revenu, l'investissement, la consommation, le taux de chômage, l'inflation, etc. Cette nouvelle approche portera le nom de keynésianisme.

Mauvaise réponse !

Pour Keynes, c'est la demande de biens et services qui crée l'offre. C'est parce qu'on achète qu'on se met à produire. Il s’oppose à la théorie classique selon laquelle l'offre crée sa propre demande et le marché est toujours en équilibre.

Mauvaise réponse !

Pour relancer l'économie d'un pays, Keynes prône une politique interventionniste de l'État. Ce dernier doit s'endetter et investir en finançant de grands travaux. Objectif : créer des emplois et des revenus et instaurer un cercle vertueux.

Mauvaise réponse !

Pour Keynes, la baisse des taux d'intérêt est nécessaire pour instaurer un climat de confiance favorable aux affaires, et stimuler l'investissement.

Mauvaise réponse !

Pour Keynes, une politique de relance économique doit favoriser la demande effective, c'est-à-dire la consommation et l’investissement.

Mauvaise réponse !

Pour Keynes, le chômage est surtout involontaire et résulte d’anticipations pessimistes des entrepreneurs, soit d'une demande effective insuffisante. Le niveau de la production dépend de celui de la demande effective car les chefs d’entreprise fixent leurs objectifs en fonction de leurs anticipations ; or c’est le niveau de production qui détermine le niveau de l’emploi.

Bonne réponse !

Keynes est contre le retour du système de l’étalon-or qui établit un taux de change fixe entre le cours de la livre sterling et le cours de l’or. Selon lui, cette décision nécessiterait une augmentation des taux d’intérêt et la diminution des salaires nominaux. ► Deux politiques néfastes à la croissance et au plein-emploi.

Mauvaise réponse !

Keynes défend un Etat interventionniste contrairement aux économistes classiques et néoclassiques qui prônent un « État-gendarme ». Le rôle de ce dernier se limite à garantir le bon fonctionnement des règles du marché et à financer des infrastructures publiques.

Mauvaise réponse !

En août 1971, le président américain Richard Nixon annonce que son pays abandonne l’étalon-or et lance : We are all Keynesians now ! La période des Trente Glorieuses constitue un âge d’or de l’intervention publique d’origine keynésienne dans de nombreux pays.