Athlétisme : la course de relais

Aux Jeux olympiques antiques, les courses d’athlétisme se sont d’abord déroulées sur des pistes en herbe, en terre battue, ou un mélange de sable et de cendre. Pour les JO, aucun règlement n'impose d’ailleurs la couleur rouge. A Paris en 2024, la piste est violette. La seule exigence pour la piste d’athlétisme concerne les lignes qui délimitent notamment les couloirs et les zones de passage de relais.

Les différentes courses de relais

• Dans le relais 4x400 m, la première zone de passage de relais est décalée après le premier virage. Les athlètes ont 20 mètres pour se transmettre le témoin, dans une zone matérialisée au sol par des traits bleus.
• Pour les relais 4x100 m, les athlètes ont 30 mètres pour se transmettre le témoin, dans une zone matérialisée au sol par des traits jaunes, 3 fois sur la piste.

Le passage du témoin

• Si un passage, ou transmission, de témoin se fait hors d’une zone, l'équipe est disqualifiée.
• Il est également interdit de jeter le témoin ou de pousser l’adversaire comme un ou une partenaire.
• L’athlète doit franchir la ligne d’arrivée avec le témoin en main. Si le témoin tombe, c’est celui ou celle qui l’a fait tomber qui le ramasse. Difficile de continuer de course dans ses conditions mais rien n’oblige l’athlète à abandonner.

🥇Sur la piste, les Jamaïcains et leur fusée Usain Bolt sont les plus forts, ils sont détenteurs du record du monde depuis les JO de Londres en 2012. Mais, les athlètes américains sont ceux qui ont remporté le plus de titres de l’histoire, 15 médailles d’or. 

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