Mauvaise réponse !

Cela fait partie des limites du calcul du PIB : du fait que les services publics sont à disposition des citoyens de manière gratuite, les statisticiens ont choisi d’estimer leur valeur comme étant équivalente à leur coût de production. De fait, elle est donc souvent sous-estimée ou surestimée.

Mauvaise réponse !

Le PIB ne tient pas compte de la qualité des biens et des services produits (consommation plus durable sur certains produits, obsolescence programmée sur d’autres...). Il ne tient pas non plus compte du fait que certaines productions sont néfastes pour la santé ou l’environnement.

Mauvaise réponse !

L’IDH est un indicateur né en 1990 pour évaluer le niveau de développement d’un pays en tenant compte de la qualité de vie de ses habitants et pas seulement de données économiques. L’IDH prend le format d’un chiffre compris entre 0 et 1 (1 étant le score le plus élevé).

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Le progrès technique, un des facteurs avérés de la croissance, engendre des inégalités de revenus. L’innovation peut en effet conduire à la destruction d’emploi et à l’appauvrissement de certaines catégories de travailleurs, notamment parmi les moins qualifiés.

Mauvaise réponse !

Le rapport Meadows souligne dès les années 1970 le lien entre la croissance économique et le risque d’épuisement des ressources naturelles, ainsi que le risque de pollution de l’environnement. Réédité en 2012, ses conclusions restent les mêmes…

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La théorie de la croissance verte est la suivante : allier développement et croissance économique dans le respect des ressources naturelles essentielles à notre bien-être. L’objectif ? Arriver à une croissance soutenable sur le long terme et plus inclusive.

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La croissance verte se caractérise par une diminution massive de l’utilisation des énergies fossiles, au profit d’énergies propres, l’usage de matériaux recyclables et la réduction de la consommation de ressources non renouvelables.