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Le corrigé de la dictée 2025 de Leïla Slimani
La grande dictée 2025 !
La correction de la dictée 2025 de Leïla Slimani. L'auteure a écrit un texte, placé sous le signe de la mer, spécialement pour la grande dictée 2025 ! Et voici le corrigé et ses explications 👇
La goélette, que l’on avait gréée avant de quitter le port,(…)
Goélette ou goëlette : comment écrire ce nom ?
Quelle est la règle ?
- Le son [e] dit « e fermé » peut s'écrire : é : été / œ : fœtus / a (devant un y uniquement) : balayer / e : évanescent.
- Le son [e] dit « e fermé » peut s’écrire en fin de mot : -ée : fée / -er : chanter / -ez : cher / -ed : pied / -ef : clef / -ë : canoë.
💡 Le tréma sur le « e » est rare, principalement parce que la prononciation de cette lettre peut être précisée par un accent aigu, grave ou circonflexe. On emploie tout de même le tréma sur le « e » dans quelques mots, surtout lorsque cette voyelle est précédée d’un « a » ou d’un « o ».
Exemple : Noël.
👉 La goélette, qui est un bateau léger à deux mâts, vient du français goéland, avec le suffixe -ette. Ce mot s’écrit avec un « é ».
La goélette, que l’on avait gréée avant de quitter le port,(…)
« Avait gréée » ou l'accord du participe passé avec l'auxiliaire avoir
Quelle est la règle ?
- Le participe passé employé avec l’auxiliaire avoir s'accorde en genre et en nombre avec le COD lorsque celui-ci est placé avant le verbe
Exemples :
Quelle bonne surprise tu nous as faite ! Ce sont les lettres qu'il a reçues.
- Le participe passé employé avec l’auxiliaire avoir est invariable lorsque le COD est placé après le verbe.
Exemples :
Il a reçu deux lettres. / Elle m'a prêté sa bicyclette.
Ici, le participe passé « gréée » s’accorde avec le COD « goélette » placé avant le verbe. Il porte donc la marque du féminin singulier -e → gréée.
(…) qui commandait son équipage avec une autorité que nul n’eût osé mettre en doute (…)
« N'eût osé mettre » ou l'accord du participe passé suivi d'un infinitif
Quelle est la règle ?
- Quand le participe passé est suivi d'un infinitif, il est invariable si le complément placé devant lui est le COD de l'infinitif; dans ce cas, le COD « subit » l'action.
Exemples :
Elles se sont laissé convaincre. (on a convaincu qui ? elles). Les plats qu'il a choisi de cuisiner sont très simples.
Quand le participe passé est suivi d'un infinitif, il s'accorde si le complément placé devant lui est COD du verbe conjugué ; dans ce cas, le COD « fait » l'action.
Exemples :
Elle s'est laissée tomber. (qui est tombé ? « se » = elle-même). Les musiciens que j'ai entendus jouer sont très bons (qui joue ? « les musiciens » ; j'ai entendu qui ? « que » = les musiciens).
Ici, le COD est le nom féminin « autorité » et il est bien placé avant le verbe. En revanche, il subit l’action → le participe passé « osé » reste donc invariable.
« N'eût osé » : passé antérieur de l'indicatif ou conditionnel ?
Faut -il écrire « n’eut osé » ou « n’eût osé » ?
Quelles sont les règles ?
- Le passé antérieur est un temps composé de l’indicatif. Il indique une action qui s’est déroulée avant une autre action, exprimée au passé simple. Ce temps se forme avec les auxiliaires être ou avoir au passé simple suivis du participe passé du verbe.
Exemple :
Dès qu’ils furent arrivés à l’hôtel, ils nous téléphonèrent.
La conjugaison d'« avoir osé » au passé antérieur est :
j’eus osé, tu eus osé, il eut osé, nous eûmes osé, vous eûtes osé, ils eurent osé.
- Le conditionnel est un mode utilisé pour exprimer des actions ou des événements qui dépendent d’une condition ou d’une hypothèse.
Exemples :
Si je gagne à la loterie, j’achèterais une nouvelle maison. Si tu avais étudié, tu aurais réussi l’examen.
► Le passé 1re forme du conditionnel exprime une éventualité du passé. Il se forme avec les auxiliaires être ou avoir au présent du conditionnel suivis du participe passé du verbe. C’est la forme la plus souvent utilisée.
Exemple :
Si j’avais osé, je t’aurais parlé (auxiliaire avoir au conditionnel présent + participe passé).
► Le passé 2e forme est un temps composé du conditionnel, qui exprime une éventualité du passé. Il se forme avec les auxiliaires être ou avoir à l’imparfait du subjonctif suivis du participe passé du verbe. On l’emploie uniquement dans un langage très soutenu !
Exemple :
J’eusse aimé vivre auprès d’une fée dans la forêt.
Ici, il s’agit d’une hypothèse donc on utilise le passé 2e forme du conditionnel et on met un accent circonflexe sur le « û » de « eût ».
(…) scrutait l’horizon tandis que le timonier s’efforçait de tenir le cap.
Timonier, timonnier, timmonier ou timmonnier : comment écrire ce nom ?
Ce terme vient du mot français timon datant d'environ 1 200, avec le suffixe -ier. Dans l’ancienne forme orthographique, on l’écrivait avec 2 « n » car il y avait le -n final du radical (timon) ainsi que le « n » pour relier le radical au suffixe -ier → timonnier.
⚠️ On écrit désormais timonier avec un seul « n », dans un souci de simplification orthographique.
En navigation, le timonier est la personne responsable de la direction d'un navire ou d'une embarcation, par le maniement du gouvernail ou de tout dispositif permettant de gouverner.
Ce fier corsaire Salétin, qui avait quitté précipitamment la kasbah (…)
casbah, casba, kasba ou kasbah : comment écrire ce nom ?
Ce mot vient de l’arabe qasaba qui signifie « forteresse ». La casbah a plusieurs sens :
► Le palais ou la citadelle d’un souverain.
► La partie haute et fortifiée d’une ville arabe.
► Une maison, dans un registre populaire.
👉 En français, deux orthographes sont admises : casbah ou kasbah.
Ici, Leïla Slimani a opté pour l’orthographe avec un « k » en début de mot. Mais il est tout à fait possible de l’écrire avec un « c » !
ℹ️ Le mot « salétin » est relatif aux corsaires de Salé, au Maroc. Il peut être utilisé comme nom ou adjectif. Ici, l'auteure a choisi de mettre une majuscule comme marque d'un nom propre. Mais on peut l'écrire sans majuscule en tant qu'adjectif.
S'ourdir ou sourdir : comment écrire ce verbe et comment l'accorder ?
Le verbe « ourdir » vient du latin ordiri, signifiant « faire une trame », « tisser sa toile » (pour l’araignée), d'où au sens figuré « commencer, entreprendre (quelque chose) ».
- À la voix pronominale, il faut écrire « s’ourdir » et non « sourdir », car le verbe se construit avec le pronom réfléchi « se », qui renvoie au sujet.
- Le verbe s'accorde en nombre et en personne avec son sujet, qu’il se place avant ou après le verbe.
Exemple :
Dépêchons-nous ! Vous n'avez rien laissé. Aimes-tu la glace au café ?
Dans le texte, on se pose la question suivante : qu’est-ce qui s’ourdissaient ? → de vils complots. Le sujet porte donc la marque du masculin pluriel. On écrit donc « s’ourdissaient » avec la terminaison correspondant à la 3e personne du pluriel à l’imparfait de l’indicatif.
💡 L'imparfait de l'indicatif sert notamment à exprimer le déroulement d'une action, une habitude, une répétition, ou à présenter une description.
(…) qui avait quitté précipitamment la kasbah où s’ourdissaient à son endroit de vils complots (…)
Comment écrit-on l’adjectif « vil » au masculin pluriel ?
« vil » vient du latin vilis signifiant « bon marché », « de peu de valeur ». On retrouve également ce terme en provençal vil, vilh, en espagnol vil et en italien vile.
Quelle est la règle ?
- La plupart des adjectifs qualificatifs et relationnels sont variables. Leur pluriel se forme généralement en ajoutant un -s au singulier : vil → vils.
Ce fier corsaire Salétin, (…) s’ébaubissait de cette brume épaisse (…)
S’ébobir, s’ébeaubir ou s’ébaubir : comment écrire ce verbe et comment l'accorder ?
- Le verbe « s’ébaubir » vient de l’ancien français ébaubir, « étonner, déconcerter, rendre bègue », formé sur baube, « bègue », du latin balbus. Ce verbe signifie « s’étonner au plus haut point ».
- Le verbe s'accorde en nombre et en personne avec son sujet, qu’il se place avant ou après le verbe.
Exemples : J'ai soif. Tom collectionne les petites voitures.
Ici, on se pose la question suivante : qui s’ébaubissait ? → Ce fier corsaire Saletin. Le sujet porte donc la marque du masculin singulier. On écrit donc « s’ébaubissait » avec la terminaison correspondant à la 3e personne du singulier à l’imparfait de l’indicatif.
(…) une purée de pois, impénétrable, que d’aucuns n’eussent su dissiper, (…)
Le pronom « d'aucuns »
Le pronom « d’aucuns » est employé dans le registre littéraire. Il signifie « quelques-uns », « certains » ou « plusieurs ». Ce pronom est toujours pluriel et s’emploie rarement au féminin (d’aucunes).
Exemples :
D’aucuns s’imaginent vivre à la campagne. D’aucuns ne partagent pas cet avis.
(…) une purée de pois, impénétrable, que d’aucuns
n’eussent su dissiper, (…)
« N'eussent su » : plus-que-parfait du subjonctif ou passé 2e forme du conditionnel ?
Quelle est la règle ?
- Le plus-que-parfait du subjonctif exprime une action incertaine au moment où on parle. Ce temps est surtout employé en littérature. Il se forme avec les auxiliaires être ou avoir conjugués au présent du subjonctif suivis du participe passé.
Exemples :
Je m'étonne qu'il n'ait pas réagi. Je doute qu'ils aient écrit ces lettres.
- Le passé 1re forme du conditionnel exprime une éventualité du passé. Il se forme avec les auxiliaires être ou avoir au présent du conditionnel suivis du participe passé du verbe. C’est la forme la plus souvent utilisée.
Exemple :
Il aurait inventé cette histoire.
- Le passé 2e forme du conditionnel exprime une éventualité du passé. Il se forme avec les auxiliaires être ou avoir à l’imparfait du subjonctif suivis du participe passé du verbe. On l’emploie uniquement dans un langage très soutenu !
Exemple :
Il eût inventé cette histoire.
Ici, il s’agit du subjonctif plus-que-parfait utilisé dans une proposition subordonnée relative : « une purée de pois que d’aucuns n’eussent su dissiper ».
(…) une purée de pois, impénétrable, que d’aucunsn’eussent su dissiper, (…)
« -er » ou « -é » à la fin du verbe : infinitif ou participe passé ?
Il faut distinguer l’infinitif et le participe passé d’un verbe du 1er groupe.
► La terminaison -er est la marque de l’infinitif des verbes du 1er groupe et du verbe aller.
Exemple :
Nous aimerions dîner de bonne heure.
► La terminaison -é est celle du participe passé des verbes du 1er groupe et du verbe aller.
Exemple :
Nous avons dîné de bonne heure.
Quelle est la règle ?
- Pour choisir la bonne terminaison, il suffit de remplacer le verbe par un verbe du 3e groupe (par exemple, prendre). On « entend » alors si l’on a affaire à un infinitif ou un participe passé.
Exemples :
Nous aimerions prendre. Nous avons pris.
Ici, si on remplace par le verbe « prendre », la phrase devient « n’eussent su prendre » → C’est donc ici l’infinitif du verbe dissiper, qui se termine par « -er »
(…) une purée de pois (…) s’était déployée autour des galhaubans (…)
L'accord du participe passé avec l’auxiliaire être
Comment faut-il écrire le son [e] à la fin du participe passé ?
Quelles sont les règles pour un verbe pronominal ?
- Dans le cas d’un verbe pronominal, le participe passé s’accorde le plus souvent avec le sujet.
Exemple :
Ses œuvres se sont bien vendues.
- Le participe passé d’un verbe pronominal s’accorde avec le pronom réfléchi quand ce dernier est complément d’objet direct (COD) et qu’il est placé avant le verbe.
Exemple : Ils se sont lavés.
- Leparticipe passé d’un verbe pronominal s’accorde avec le COD placé avant le verbe lorsque le COD n’est pas le pronom réfléchi.
Exemple :
As-tu vu la robe qu'elle s'est offerte ?
- Le participe passé est invariable lorsque le COD est placé après le verbe.
Exemple :
Elles se sont lavé les mains.
- Le participe passé d’un verbe pronominal est invariable quand le pronom réfléchi est complément d’objet indirect (COI).
Exemple :
Ils se sont parlé (« se » est COI et non COD, car on parle « à » quelqu’un).
Ici, le sujet du verbe « se déployer » est « une purée de pois », on accorde donc le participe passé au féminin singulier → déployées.
(…) autour des galhaubans (…)
Galoban, galauban, galeauban, gualoban, gualeauban ou gualauban : comment écrire ce nom ?
Le galhauban est un type de cordage servant à assujettir les mâts supérieurs par le travers, et vers l'arrière. Ce mot est une altération de calhauban, composé à partir de cale, impératif de caler, et de hauban. Le hauban est un câble servant à assujettir un mât latéralement sur un voilier.
👉 On écrit donc « galhauban ».
(…) s’était accrochée aux enfléchures.
Enfléchure ou enflêchure : comment écrire ce nom ?
L’enfléchure est chacun des échelons en corde disposés horizontalement sur les haubans pour monter dans la mâture. Ce mot est dérivé de « flèche », au sens de « poulaine d’un navire », c'et-à-dire la partie saillante à l’avant d’un navire, en forme de triangle.
► L’accent aigu é indique le « e » fermé, comme dans : capté.
► L’accent circonflexe sur le ê désigne le même son que l’accent grave. Il n’est jamais employé devant une consonne double ou devant un -s (sauf dans châsse et ses dérivés, dont châssis), ni devant un groupe de deux consonnes, à moins que ce groupe se termine par un -l ou par un -r ou qu’il ne représente qu’un seul son.
Exemples :
Une guêpe. Extrême.
👉 Ici, on écrit enfléchure avec un é.
Juché sur le barrot de hune (…)
Le vocabulaire de la marine
En marine, les barrots sont les pièces de charpente transversales d’un pont de navire. Ce mot est dérivé de « barre ». La hune est la plate-forme fixée à l'extrémité du bas-mât. Ce mot vient de l’ancien scandinave hûnn, de même sens.
(…) la vigie la plus madrée du port (…)
L'accord de l'adjectif qualificatif
L’adjectif « madré » signifie rusé, futé. Quelle est la règle de son accord ?
- L'adjectif qualificatif s'accorde normalement en genre et en nombre avec le nom, pronom ou groupe de mots auquel il se rapporte.
Exemple :
Jette donc ces fleurs fanées !
👉 Ici, l’adjectif « madrée » s’accorde avec le nom féminin « vigie », il porte donc la marque du féminin singulier « e ».
(…) que les plus âpres bourrasques n’eussent su ébranler (…)
Âpre ou apre : comment écrire cet adjectif qualificatif ?
Âpre est adjectif signifiant « qui, par sa rudesse, cause une impression désagréable ». Vient du latin aspre « pénible ; violent ; rude au toucher ».
Bourasque ou bourrasque : comment écrire ce nom ?
Une bourrasque est un coup de vent violent s’élevant à l’improviste, mais généralement de peu de durée. Il vient de l’italien bur(r)asca, bor(r)asca, qui remonte au latin boreas, « vent du nord » → d’où le double « r ».
(…) s’était arc-bouté contre les étais (…)
S'arc bouter, s'arc-bouter ou s'arcbouter : comment écrire ce verbe ?
À la voix pronominale, « s’arc-bouter » signifie s’appuyer fortement à un mur, un arbre, etc., pour exercer un effort de résistance ou de poussée. Ce verbe est tiré d’arcboutant (composé d’arc et de boutant, participe présent de bouter au sens de « pousser ».)
💡 Depuis les rectifications orthographiques de 1990, on peut, au choix, écrire « s’arc-bouter » ou « s’arcbouter ».
(…) s’était arc-bouté contre les étais, (…)
Était ou étais : comment écrire ce nom ?
En marine, l’étai est le cordage ou fil d’acier destiné à assurer la rigidité d’un mât dans le sens longitudinal, par opposition aux haubans qui le maintiennent latéralement. Ce mot est Issu de l’anglo-saxon staeg, de même sens.
⚠️ À ne pas confondre avec son homonyme « étai », qui signifie pièce de bois ou de fer dont on se sert pour appuyer, pour soutenir une construction qui se déforme. Dans ce sens, le nom « étai » vient du francique (langue germanique des anciens Francs) staka, le « soutien ».
(…) ses doigts gourds crispés (…)
Gour, gourt ou gourd : comment écrire cet adjectif ?
L’adjectif « gourd » signifie qui est rendu insensible ou maladroit par l’effet du froid. Ce mot est issu du latin impérial gurdus, « lourdaud, grossier ».
Exemple :
Avoir les doigts, les membres gourds.
(…) ses doigts gourds crispés sur les cadènes détrempées.
Cadaine, cadeine, cadène, cadenne ou cadêne : comment écrire ce nom ?
Comment doit-on écrire le son [ɛn] dans le nom féminin [kadɛn] ? « aine » « eine « ène », « enne » ou « êne » ?
En marine, la cadène est une pièce, souvent en métal, fixée sur le pont ou la coque d'un navire pour y attacher les câbles soutenant le mât. Ce mot vient du latin catena, la « chaîne », passé à l'occitan sous la forme cadena.
👉 Ici, le son [ka] s’écrit donc « ca » et le son [ɛn] s’écrit « ène » → cadène.
détrempés ou détrempées : adjectif ou participe passé ?
Quelle est la règle de l'accord de l'adjectif qualificatif ?
- Il s'accorde normalement en genre et en nombre avec le nom, pronom ou groupe de mots auquel il se rapporte.
Exemple :
Regarde ces jolies robes irisées !
Le participe passé à valeur adjectivale « détrempées » signifie « ramollies » en étant trempées dans un liquide. Le verbe « détremper » vient du latin distemperare, « mélanger, délayer ».
Ici, l'adjectif « détrempées » s'accorde avec le nom féminin « cadènes », il porte donc la marque du féminin pluriel -s → détrempées.
Alors qu’il s’apprêtait à sommer l’équipage d’étarquer les écoutes, (…)
Étarquer ou éttarquer : comment écrire ce verbe ?
En marine, « étarquer » est l’action de hisser une voile de manière à ce que ses bordures soient extrêmement tendues. Ce verbe vient du néerlandais sterken « raffermir, consolider ».
Exemple :
Étarquer une voile.
👉 Le verbe étarquer s'écrit avec un seul « t ».
👏 Continue ton entraînement avec la dictée d'Emma Green !
Réalisateur : Serge Bonafous
Producteur : Média TV; Studio 77
Année de copyright : 2025
Année de production : 2025
Année de diffusion : 2025
Publié le 16/04/25
Modifié le 22/04/25
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