Mauvaise réponse !

La laïcité garantit que les institutions politiques ne favorisent aucune religion, permettant ainsi la liberté de conscience.

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Au début du XX^e siècle, l’Église catholique s’oppose à beaucoup de lois républicaines. Afin de séparer les pouvoirs et après de longs débats, le député Aristide Briand propose ce texte. L'État français n’a plus de religion officielle.

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Le principe de laïcité, qui établit la neutralité de l'État en matière religieuse, est inscrit à l'article 1^er de la Constitution de la IV^e République : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale ».

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Marianne est le symbole de la République française et incarne les valeurs de liberté, égalité et fraternité, dont la laïcité fait partie.

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La laïcité n'est pas un principe universel : chaque pays a ses propres règles. Elle est spécifique à certains pays et peut être interprétée différemment selon les contextes culturels et historiques.

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Au XVI^e siècle, le roi Henri VIII se sépare de Rome et fonde sa propre Église d'Angleterre. Il en devient le chef suprême. Il est à la fois le chef de l'État et le gouverneur suprême de l'Église d'Angleterre. La laïcité n'existe donc pas au Royaume-Uni.

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L'État doit rester neutre en matière religieuse, garantissant ainsi l'égalité des citoyens. 

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L'école laïque existe depuis les lois de mars 1882 et d'octobre 1886. Les enseignants ne sont plus des religieux et l'école propose un enseignement neutre, sans influence religieuse. L'instruction civique remplace l'instruction religieuse.

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Il réunit des informations pour aider le gouvernement à bien gérer les 3 principes de la laïcité : la liberté de conscience et de manifester ses convictions, la séparation des institutions publiques et des organisations religieuses, l'égalité de tous devant la loi quelles que soient leurs croyances religieuses ou convictions.