Mauvaise réponse !

Reconnaissable par son masque fait de peau humaine et son arme signature, la tronçonneuse, Leatherface est le tueur principal du film de Tobe Hooper, sorti en 1974. Massacre à la tronçonneuse (The Texas Chain Saw Massacre) est devenu un classique du cinéma d'horreur, posant les bases d’un sous-genre, le « slasher », avec son atmosphère brutale et son style quasi-documentaire.

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Les Dents de la mer (Jaws), sorti en 1975, est le premier blockbuster d'été de l'histoire. Réalisé par Steven Spielberg, il met en scène un grand requin blanc, surnommé Bruce, qui s'attaque à l'homme. Son succès commercial a ouvert la voie à d'autres films d'horreur à gros budget marquant un tournant dans l'industrie cinématographique.

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Mélange de polar, d’horreur et d’érotisme, le giallo est un sous-genre du cinéma d'horreur italien déjà utilisé par Mario Bava. Mais Dario Argento va le populariser avec Les Frissons de l'angoisse (Profondo Rosso), sorti en 1975, et Supiria en 1977. On retrouve certains codes du genre chez Brian de Palma et Quentin Tarantino.

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Sorti en 1979, le film de Ridley Scott mélange habilement science-fiction et horreur. Il suit l'équipage du vaisseau spatial Nostromo, qui se retrouve confronté à un extraterrestre mortel. Salué pour son atmosphère tendue, son design innovant et sa capacité à créer une peur palpable, Alien va influencer de nombreux films ultérieurs dans les deux genres.

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L’intrigue du film de Stanley Kubrick, sorti en 1980 se déroule dans l'hôtel Overlook. Avec son architecture grandiose et ses couloirs labyrinthiques, il symbolise l'isolement et la folie du personnage principal, Jack Torrance. Renforçant le sentiment de claustrophobie et de tension, ce cadre devient une référence dans le genre de l'horreur.

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Premier film de Sam Raimi, Evil Dead (The Evil Dead), sorti en 1981, éclabousse l’écran avec son cocktail de gore sanglant et d'humour noir. Ce mélange de frissons et de rires ainsi que l’approbation du maître de l’épouvante en personne, Stephen King, lui permit de se distinguer des autres films d'horreur de l'époque et de devenir culte.

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Kathy Bates a remporté l'Oscar de la meilleure actrice en 1991 pour son interprétation d'Annie Wilkes dans Misery, sorti en 1990, adapté du roman éponyme de Stephen King. Sa performance intense et terrifiante dans ce rôle a marqué les esprits et a fait d'elle l'une des rares actrices à être récompensée pour un rôle dans un film d'horreur.

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Sorti en 1996, Scream de Wes Craven va marquer un tournant, avec son traitement « méta » et ses références à la culture pop. En effet, les personnages discutent des règles des films d'horreur, permettant au film de jouer avec les conventions du genre et de s’en affranchir. Cette approche a redynamisé le slasher, avec humour et ironie.

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Sorti en 1999, Le Projet Blair Witch (The Blair Witch Project) suit trois étudiants en cinéma qui s'aventurent dans les bois du Maryland pour documenter la légende de la sorcière de Blair. Utilisant un style de caméra à la main, il crée une atmosphère réaliste et immersive, laissant le spectateur croire qu'il regarde des images authentiques retrouvées.

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Dans 28 jours plus tard (28 Days Later), sorti en 2002, du britannique Danny Boyle, le héros Jim se réveille dans un Londres dévasté par d’une épidémie qui transforme les humains en créatures agressives et enragées. Ce film, qui mélange horreur et science-fiction, offre un renouveau aux films de zombies, en se concentrant sur les conséquences psychologiques et sociétales de la catastrophe.

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Dans Ring (Ringu), la cassette vidéo maudite, une fois visionnée, entraîne la mort de la personne dans un délai de sept jours. Ce film, réalisé par Hideo Nakata et sorti en 2002, est un exemple emblématique du J-horror, le cinéma d’horreur japonais qui se concentre sur l'horreur psychologique et l'atmosphère plutôt que sur la violence graphique.

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Ce prix soulignant l'impact de Get Out dans le genre de l'horreur psychologique. Écrit et réalisé par Jordan Peele, le film utilise des éléments de tension psychologique pour explorer des thèmes de racisme et d'aliénation sociale, ouvrant la voie à d'autres œuvres qui allient frissons et réflexion, comme Beau is afraid de Ari Aster, sorti en 2023.