Le cyberharcèlement

En France, un adolescent sur dix déclare avoir déjà été victime de cyberharcèlement. C’est sans doute beaucoup plus en réalité. 

Quand le confinement augmente le cyberharcèlement

La période de confinement a marqué une nouvelle ère où le numérique s’est déployé massivement dans toutes les familles, avec des risques pour les adolescents qui font leurs premières expériences sur internet, seuls sur leur smartphone.

L’éducation au numérique

Le numérique et ses codes spécifiques méritent une explication, et même une éducation… La preuve : pour 15 % des adolescents, « liker » un commentaire insultant n’est pas considéré comme du cyberharcèlement. Et bien si...liker peut blesser !

Comment détecter le harcèlement ?

Alors parents ou professionnels de l’éducation, si un adolescent change brutalement de comportement, a des sautes d’humeur, ne veut plus aller en classe, se désintéresse de ce qui le passionne, perd l’appétit, dort mal, ou s’il quitte du jour au lendemain les réseaux sociaux. C’est peut-être un signe de cyberharcèlement.