Mauvaise réponse !

Le harcèlement se fait sans l'accord de la victime et a pour but de lui faire du mal. Ces attaques sont répétées dans le temps, ce qui aggrave la situation.

Mauvaise réponse !

Le cyberharcèlement doit toujours être pris au sérieux. Ainsi, même si des témoins éventuels pourraient ne pas savoir qui est visé derrière le pseudonyme employé, la victime, elle, le sait bien. De même, ce n'est pas parce que les agresseurs sont nombreux qu'ils ont raison de le faire.

Mauvaise réponse !

Il y a trois acteurs dans une situation de cyberharcèlement : l'agresseur et sa victime, mais aussi les témoins. Ces derniers ont un rôle très important à jouer pour mettre fin au problème.

Mauvaise réponse !

On peut parfois penser être en train de faire des « blagues » contrairement à ce que ressent la personne en face. Le cyberharcèlement peut d'ailleurs être sanctionné par de lourdes peines pour l'agresseur. De plus, comme tout ce qui est posté sur Internet, ces actes sont souvent indélébiles.

Mauvaise réponse !

Le cyberharcèlement a souvent pour conséquence d'isoler la victime, qui se retrouve alors seule face aux moqueries et aux insultes, et peine à trouver du soutien contre cela.

Mauvaise réponse !

Les victimes de harcèlement sont souvent isolées et leur apporter du soutien en allant les voir peut leur permettre de se sentir beaucoup mieux. En revanche, la violence n'est jamais une solution à la violence, agresser le harceleur n'est donc absolument pas une bonne idée.

Mauvaise réponse !

Le 3020 (ou le 3018 en cas de cyberharcèlement) sont des numéros gratuits pour avoir des conseils ou être orienter vers des professionnels, que l'on soit victime ou témoin de violences.