Mauvaise réponse !

Bollywood cherche à s’imposer face à Hollywood. Les studios de cinéma indiens sont principalement présents à Mumbai.

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En 2018, elle concentre 1,8 % de la population active, 16 % du capital productif du pays.

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Ces quartiers défavorisés abritent une population très pauvre. Des familles entières s’entassent dans quelques mètres carrés. L’accès à l’eau et à l’électricité y est très difficile.

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Si l’étalement urbain rapide de la ville les menace, les bidonvilles sont toujours présents aujourd’hui.

Mauvaise réponse !

Alors que la transition démographique est achevée dans un grand nombre d’Etats, en particulier en Inde du Sud, la croissance urbaine est toujours en cours dans certains Etats du Nord. La stabilisation de la population indienne ne semble toujours pas d’actualité.

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Dreamworks a été rachetée pour moitié par l’héritier d’une riche famille indienne, Anil Ambani. Grâce à lui, Bollywood est passé du statut de concurrent à celui d’associé des entreprises cinématographiques américaines.

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Elle attire, pour la qualité de ces usines d’assemblage et le faible coût de sa main-d’œuvre, des industriels venus du monde entier, tels que Peugeot, Tata ou encore Ford.

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On estime que 200 à 250 millions de personnes font partie de la classe moyenne.

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Mumbai est la capitale économique de l’Inde. Quant à Delhi, elle est la capitale politique du pays. Elle abrite le siège du gouvernement, la résidence du président et la Cour suprême.

Mauvaise réponse !

Les disparités sociales et de santé sont grandes entre les populations des bidonvilles et les autres.