Mauvaise réponse !

Héritier du trône impérial, il a tenté par deux fois de prendre le pouvoir par la force. Un premier coup d'État raté l'a conduit à l'exil aux États-Unis. Un second, en 1840, lui a valu une condamnation à la prison à perpétuité, dont il s'est évadé en 1846.

Mauvaise réponse !

Les élections législatives, pour élire l'Assemblée, ont eu lieu en avril 1848. La première élection présidentielle au suffrage universel masculin, qui a vu s'affronter plusieurs candidats, s'est déroulée les 10 et 11 décembre 1848.

Mauvaise réponse !

Louis-Napoléon Bonaparte a remporté une victoire écrasante, obtenant 74 % des voix. Le général Cavaignac est arrivé loin derrière avec 20 %, tandis que les autres candidats, comme le poète Lamartine ou les républicains socialistes, n'ont recueilli que très peu de suffrages.

Bonne réponse !

Pendant sa campagne, Louis-Napoléon Bonaparte n'a pas caché son projet de restaurer un régime impérial. Cela ne l'a pas empêché d'être élu massivement, ce qui montre que beaucoup de Français n'étaient pas attachés à la forme républicaine du gouvernement.

Mauvaise réponse !

Le fait qu'il ne soit pas un républicain pur et dur a rassuré une grande partie de l'électorat (bourgeois, ruraux, monarchistes) qui craignait une nouvelle révolution. Ils voyaient en lui un homme capable de restaurer l'ordre, contrairement aux candidats jugés trop révolutionnaires.

Mauvaise réponse !

Si l'aura de son oncle a beaucoup joué, ce n'est pas la seule raison. Il a aussi bénéficié du rejet des autres candidats, comme Cavaignac. De plus, il était connu pour ses idées sur le progrès social et avait écrit un livre sur l'amélioration de la condition ouvrière.

Mauvaise réponse !

Ne pouvant pas modifier la Constitution pour un second mandat, il prend le pouvoir par la force avec le soutien de l'armée, à une date très symbolique, celle du sacre de Napoléon I^er.

Mauvaise réponse !

Pour légitimer son coup d'État, il a organisé un plébiscite. Il a demandé au peuple de lui maintenir sa confiance et de l'autoriser à rédiger une nouvelle Constitution.