Mauvaise réponse !

Pour Spinoza (XVII^e siècle), il n’existe d’autre substance dans la nature que Dieu, cause productrice de toute chose. Tout ce qui existe découle de Dieu, par seule nécessité naturelle.

Mauvaise réponse !

Zarathoustra était un prêtre persan de l'Antiquité qui enseignait le dualisme du bien et du mal. Au XIX^e siècle, Nietzsche en fait le personnage principal de son œuvre majeure Ainsi parlait Zarathoustra. Il appelle à aller par-delà le bien et le mal.

Mauvaise réponse !

Le thomisme désigne la doctrine inspirée de la philosophie de Thomas d’Aquin. Elle est fondée sur la complémentarité de la foi et de la raison. L’intelligence éclaire et renforce la foi.

Mauvaise réponse !

Pour Nietzsche, rien n’existe d’autre que ce qui apparaît. Chercher au-delà du monde des apparences, un être, une essence, un absolu ou un Dieu est, selon lui, la grande erreur de la philosophie occidentale. Elle a créé ainsi la fiction d’un arrière-monde.

Mauvaise réponse !

Pour Karl Marx, la religion apaise et endort les classes populaires en leur promettant une vie meilleure après la mort, les incitant ainsi à ne pas se révolter ici-bas.

Mauvaise réponse !

Dieu, par définition, ne peut-être qu’éternel, c’est-à-dire hors du temps. Alors que l’existence implique la temporalité.

Mauvaise réponse !

Dans cette théorie, la matière est la seule réalité existante. C’est par elle que s’explique la vie spirituelle, les idées n’étant qu’un reflet de la vie matérielle. Elle s’accompagne souvent d’une remise en question de l’existence de Dieu et de l’immortalité de l’âme.

Mauvaise réponse !

C’est par cette phrase que Kierkegaard (XIX^e siècle) résume la vie chrétienne : le salut est facile à trouver car il suffit de se tourner vers le Christ. La difficulté est de suivre le chemin du Christ, c’est-à-dire de faire l’expérience de la vie chrétienne.

Mauvaise réponse !

C’est sujet à interprétation. Cela peut signifier que Dieu est mort dans l’esprit de l’homme, mais aussi que Dieu s’est retiré avec le temps ou par condamnation de l’humanité. En conclusion, l’athéisme de Nietzsche n’est pas si évident.

Mauvaise réponse !

Il existe plusieurs niveaux de croyance. On peut croire par éducation, par habitude, par peur ou par fanatisme, mais la foi, c’est la confiance pleine et entière en la présence de Dieu. « Seule la foi sauve », disait Luther.