Mauvaise réponse !

Dans son traité De L'âme, au IV^e siècle avant J.-C., Aristote distingue les corps inanimés et les corps animés, qui possèdent une âme. Le souffle de la vie est la « psyché ». Il écrit que la vie est « le fait de se nourrir, de croître, et de dépérir par soi-même ». 

Mauvaise réponse !

La République est un ouvrage de Platon dont Aristote fut l'élève avant de prendre ses distances avec la pensée de ce dernier. Chacun d'eux fonde à Athènes leur école philosophique : l'Académie pour Platon, le Lycée pour Aristote.

Mauvaise réponse !

Aristote prône la logique et l'argumentation. Il ne fait jamais d'expérience mais tente d'expliquer la nature par le raisonnement. Plusieurs de ses théories seront invalidées au cours des siècles.

Mauvaise réponse !

Selon Aristote, il est dans la nature de l'homme de se regrouper en société, sans quoi on ne peut le considérer comme un homme complet. C’est parce qu'il est doué de raison que l’homme s’organise politiquement, à la différence des animaux. Il est un animal politique par le langage et la moralité qui permettent de structurer la cité.

Mauvaise réponse !

Pour Aristote, « la nature ne fait rien en vain ». Il y a une corrélation entre l’intelligence de l’homme et sa morphologie. La main est comme un outil qui fabrique et manipule tous les outils.

Bonne réponse !

Ethique à Nicomaque est un ensemble de 10 livres probablement dédié au père ou au fils d'Aristote, qui portaient chacun ce nom. Le philosophe s'interroge sur le « souverain bien » qui amène l'homme au bonheur. Aristote y livre notamment ses réflexions sur l’amitié et la justice.

Bonne réponse !

Un syllogisme est un raisonnement logique visant à établir une conséquence. On doit sa formalisation à Aristote. Voici un exemple de syllogisme : « Tous les hommes sont mortels. Or Socrate est un homme. Donc Socrate est mortel. »

Mauvaise réponse !

Alors qu'il voyage dans le bassin méditerranéen, Aristote est invité par le roi Philippe II de Macédoine à revenir dans son pays natal pour être le précepteur de son fils, Alexandre. En 336 avant J.-C., le prince héritier devient à son tour roi de Macédoine, qui restera dans l'histoire comme Alexandre le Grand.

Bonne réponse !

Tous deux ont introduit des idées et des modèles incorrects qui ont dominé la pensée scientifique pendant presque 2 000 ans, notamment en ce qui concerne la place de la Terre dans l'univers : centrale et fixe.