Mauvaise réponse !

Victor-Emmanuel II rêvait d'unifier les différents territoires de la péninsule italienne pour créer un seul royaume d'Italie. Pour cela, il avait besoin de l'aide de la France contre l'Autriche.

Mauvaise réponse !

Napoléon III a accepté d'apporter son aide militaire, mais il a demandé une « récompense » en contrepartie : le rattachement du comté de Nice et du duché de Savoie à la France. Ces territoires étant francophones, c'était donc un argument pour justifier leur intégration à la France.

Mauvaise réponse !

Le roi a hésité, car la Savoie était le berceau historique de sa famille, la maison de Savoie. Il a finalement accepté la cession en échange de l'aide militaire française, indispensable pour unifier l'Italie.

Mauvaise réponse !

C'est le comte de Cavour, Premier ministre de Victor-Emmanuel II, qui a rencontré Napoléon III à Plombières. Ils y ont conclu un accord secret pour une alliance militaire contre l'Autriche.

Mauvaise réponse !

La victoire décisive à Solferino, en juin 1859, a permis de repousser les troupes autrichiennes. Cette victoire a été une étape clé menant au rattachement de Nice et de la Savoie.

Bonne réponse !

C'est ce traité qui a formalisé la cession des deux territoires par le royaume de Piémont-Sardaigne à la France. Il est la conséquence directe de l'alliance et de la guerre contre l'Autriche.

Mauvaise réponse !

Un plébiscite est un vote où le peuple répond par « oui » ou par « non » à une question posée par le pouvoir. Napoléon III l'a utilisé pour montrer que le peuple soutenait sa politique.

Mauvaise réponse !

Au contraire, le « oui » l'a emporté avec une écrasante majorité. Les Savoyards et les Niçois, qui avaient le droit de vote (les hommes uniquement), ont massivement approuvé leur rattachement à la France.

Mauvaise réponse !

L'ancien duché de Savoie a été scindé en deux pour former les départements actuels de la Savoie (au sud, avec Chambéry) et de la Haute-Savoie (au nord, avec Annecy).

Mauvaise réponse !

Le comté de Nice avait déjà été français pendant la Révolution et le Premier Empire, de 1793 à 1814. Il formait alors le département des Alpes-Maritimes, nom qu'il a retrouvé en 1860.