Mauvaise réponse !

Les zones économiques exclusives (ZEE) de la France font plus de 10 millions de km², essentiellement grâce à la possession d'îles et de territoires présents sur les trois océans (Atlantique, Indien et Pacifique), ce qui la place à la deuxième place derrière les Etats-Unis.

Mauvaise réponse !

En juin 2020, la Commission des limites du plateau continental, organe des Nations unies, a autorisé la France à étendre son plateau continental au large des îles de La Réunion et de celles de Saint-Paul et Amsterdam, dans l'océan Austral. Cela a permis à la France d'étendre son domaine sous-marin de 151 323 km².

Bonne réponse !

Les dimensions des plateaux continentaux varient considérablement. Ils peuvent être quasi inexistants, comme au large des côtes chiliennes ou à l'ouest de l'île de Sumatra, ou très étendus, comme le plateau de Sibérie dans l'océan Arctique.

Mauvaise réponse !

Le tourisme balnéaire est une partie importante du tourisme en France. Le pays compte de nombreuses stations balnéaires sur le littoral, mais aussi dans les territoires ultramarins. En parallèle, le tourisme de croisière se développe. Au total, ces activités représentent la moitié de l'économie de la mer.

Mauvaise réponse !

En 2017, la France interdit la délivrance de nouveaux permis autorisant les forages offshore et le permis de recherche au large des îles Éparses dans l'océan Indien n'est pas renouvelé. Au contraire, les investissements se portent sur les énergies renouvelables de la mer.

Mauvaise réponse !

En 2013, avec 4 appareils, la France se trouvait à la troisième position en nombre de sous-marins nucléaires lanceurs d'engins, au même niveau que la Chine et le Royaume-Uni. Mais elle se trouvait derrière les Etats-Unis et la Russie qui en possèdaient respectivement 14 et 13. L'Inde en possédait un seul.

Mauvaise réponse !

Même si la France possède des zones économiques nombreuses, elle importe les 3/4 de sa consommation totale de poisson. Le Brexit va aggraver cette situation. En effet, grâce à la politique commune de la pêche de l'Union européenne, la France puisait dans les eaux britanniques de la mer du Nord qui sont très riches en ressources halieutiques.