Bonne réponse !

Avec l'annonce de l'avance rapide des Alliés sur Paris pour libérer la capitale, des grèves voient le jour, jusqu'à la grève générale. Des barricades sont dressées, entravant les mouvements des véhicules allemands, et des escarmouches contre les forces d'occupation deviennent sérieuses.

Bonne réponse !

Von Choltizt devient gouverneur de Paris après Carl-Heinrich von Stülpnagel. Ce dernier vient d'être démis de ses fonctions pour avoir participé à l'attentat de juillet 1944 visant Hitler. Il est exécuté à Berlin fin août 1944.

Mauvaise réponse !

Hitler aurait ordonné de détruire les ponts et monuments et de résister jusqu'au dernier homme pour faire de Paris « un Stalingrad de l'ouest ». Si tant est qu'ils aient réellement été donnés, ces ordres ne sont pas exécutés. Les Allemands préfèrent battre en retrait que d'être capturés par les Insurgés.

Mauvaise réponse !

Dans un Paris vidé de ses policiers, le mouvement insurrectionnel se développe pour prendre part à la libération de Paris : cheminots, postiers puis infirmiers suivent le mouvement, encouragés par la BBC. Rol-Tanguy fait apposer des affiches d'appel à la mobilisation et au déclenchement de l'insurrection.

Mauvaise réponse !

Depuis le 1^er juin 1944, Rol-Tanguy est chef régional des FFI pour les quatre départements de la région parisienne. Il prépare la libération de Paris avec le COMAC, le CNR, le CPL et Jacques Chaban-Delmas, le Délégué militaire national. 

Bonne réponse !

Le 23 août 1944, Hitler envoie un message à von Choltitz, le gouverneur militaire de Paris, lui ordonnant de détruire la ville. Von Choltitz ne le fait pas, sans doute trouve-t-il cela inutile et dangereux pour lui en cas de reddition.

Mauvaise réponse !

Le 25 août 1944, les Américains permettent aux Français de marquer les esprits en les laissant entrer les premiers dans Paris. Ceci peut également aider la France qui est loin d'avoir gagné sa place dans le camp des vainqueurs.

Mauvaise réponse !

De Gaulle arrive à Paris après la signature de la capitulation allemande. Sans doute vexé, il reproche au maréchal Leclerc de ne pas l'avoir attendu, mais également d'avoir préféré la présence du résistant communiste Rol-Tanguy.

Mauvaise réponse !

Le général de Gaulle prononçe un discours, vibrant appel à l'unité nationale et à la participation des armées françaises à la victoire finale sur l'Allemagne. Celui-ci, diffusé par la Radiodiffusion de la nation française est retransmis le lendemain par la BBC.

Bonne réponse !

De Gaulle descend les Champs-Élysées à pied, s'avançant au milieu d'une marée humaine. Malgré des coups de feu et la panique sur le parvis de Notre-Dame, de Gaulle assiste à la cérémonie.