Mauvaise réponse !

Ce désert s'étend sur huit millions de kilomètres carrés et dix pays : Maroc, Algérie, Tunisie, Libye, Égypte, Soudan, Tchad, Niger, Mali et Mauritanie.

Bonne réponse !

On y trouve des gisements d'hydrocarbures (pétrole, gaz), de minerais (phosphates, or, fer, uranium) et d’aquifères (nappes d'eau souterraines).

Mauvaise réponse !

Au contraire, c'est un espace de flux croissants. D'abord pour exploiter les ressources naturelles situées à l'intérieur des terres et déplacées jusqu'au littoral pour les exporter. Puis, des flux migratoires vers l'Afrique du Nord et l'Europe qui s'amplifient, et transforment les villes du Sahara en ville-relais.

Mauvaise réponse !

Les voitures viennent des grands ports du golfe de Guinée. Les armes arrivent soit de régions en guerre ou de la Chine par conteneurs. Les drogues sont depuis longtemps commercialisées le long de la frontière marocaine, mais arrivent également dans des conteneurs depuis la Colombie.

Mauvaise réponse !

Le désert est au cœur de conflits de différents types : frontalier (Sahara occidental) ; rébellions des Touaregs qui revendiquent leur autonomie et le contrôle de leurs ressources ; guerre civile liée aux révolutions des printemps arabes ; terroriste avec attentats et enlèvements.

Mauvaise réponse !

À partir de 2011, des manifestations populaires dénoncent la misère et le manque de démocratie. Elles aboutissent parfois au renversement des dirigeants contestés, comme en Égypte, Tunisie ou Libye, mais sont souvent réprimées, comme à Bahreïn ou en Syrie.

Mauvaise réponse !

Es-Shahel signifie en arabe « rivage », « bordure ». Situé au sud du Sahara, c'est une bande de territoires qui traverse l'Afrique d'ouest en est. Malgré ses nombreuses ressources naturelles, cette zone enclavée demeure l'une des plus pauvres du monde, et en proie à une insécurité permanente provoquée par des attaques de groupes djihadistes.

Bonne réponse !

Son but : contrer la menace terroriste qui a touché le pays et fait des centaines de milliers de victimes entre 2013 et 2014.

Mauvaise réponse !

D’abord présentés comme des réponses à la crise sécuritaire, ces coups d'État ont installé des dictatures militaires au pouvoir qui peinent à formuler un véritable projet et surtout à endiguer une vague djihadiste de plus en plus meurtrière. Pour autant, les trois pays se sont accordés sur le rejet commun de la présence française dans la région.