Mauvaise réponse !

Au contraire, Charles X était le chef de file des « ultraroyalistes ». Il souhaitait un retour à la monarchie absolue et était très hostile aux libertés acquises depuis 1789, notamment la liberté de la presse.

Mauvaise réponse !

Le 25 juillet 1830, le roi signe les quatre ordonnances de Saint-Cloud qui suspendent la liberté de la presse, dissolvent la Chambre des députés et modifient la loi électorale. Cet acte est perçu comme un coup d'État par l'opposition.

Mauvaise réponse !

Face à l'insurrection qu'il ne parvient pas à maîtriser, Charles X est contraint d'abdiquer le 2 août 1830. Cet événement marque la fin du règne de la branche aînée des Bourbons en France.

Mauvaise réponse !

Les députés libéraux, qui craignent une république jugée trop radicale, choisissent une solution de compromis. Ils installent sur le trône un nouveau roi, Louis-Philippe, duc d'Orléans. C'est le début de la monarchie de Juillet.

Mauvaise réponse !

Ce titre n'est pas anodin. Il signifie que le roi tire sa légitimité de la volonté du peuple (roi des Français) et non plus seulement de Dieu (roi de France). C'est l'affirmation du principe de souveraineté nationale.

Mauvaise réponse !

Journaliste libéral, Adolphe Thiers a activement milité pendant les Trois Glorieuses. Il a œuvré en coulisses avec d'autres députés pour écarter la solution républicaine et promouvoir la candidature du duc d'Orléans comme nouveau roi.

Mauvaise réponse !

Le nouveau régime maintient le suffrage censitaire. Seuls les citoyens payant un certain montant d'impôt (le cens) ont le droit de vote. Le pouvoir politique reste donc entre les mains de la bourgeoisie la plus riche.

Bonne réponse !

La monarchie de Juillet est le régime de la bourgeoisie financière, industrielle et commerçante. Le roi lui-même, surnommé le « roi-citoyen », cultive une image de simplicité bourgeoise, loin du faste de ses prédécesseurs.

Mauvaise réponse !

La Charte de 1814 était un texte « octroyé » (donné) par le roi à ses sujets. Celle de 1830 est une version révisée, négociée et votée par les Chambres. Elle devient un pacte entre le roi et la nation, renforçant le pouvoir du Parlement.

Mauvaise réponse !

La monarchie de Juillet est un compromis qui déçoit à la fois les républicains et les légitimistes (partisans des Bourbons). Le régime, marqué par des crises sociales et politiques, sera finalement renversé par une autre révolution en février 1848.