Mauvaise réponse !

Les premières plantations de canne à sucre, qui demandent beaucoup de main-d'œuvre, sont implantées sur l'île de Sao Tomé. La proximité des côtes africaines et le nombre important d'esclaves en font une sorte de « laboratoire de la traite ».

Mauvaise réponse !

Pedro Álvares Cabral est un navigateur portugais. Il aborde les côtes du Brésil en 1500. Même s'il ne trouve ni or, ni argent, il comprend très vite qu'il peut faire cultiver du sucre et tirer parti de cette manière des nouveaux territoires conquis.

Mauvaise réponse !

Le pau-brasil est un arbre qui permettait d'obtenir une couleur rouge caractéristique. Même si le Brésil vit très vite se développer l'agriculture, y compris des grandes plantations de canne à sucre sur la côte de Sao Paulo, le nom lié à son origine s'imposa.

Mauvaise réponse !

Le Brésil étant dominé par le Portugal, c'est à Lisbonne, sa capitale, que le sucre en provenance du Brésil est acheminé et raffiné. Les colonisateurs mettent très vite en place un système où la production se fait au Brésil, mais la technicité se trouve en Europe.

Bonne réponse !

La traite est avant tout destinée à faire face à la pénurie de main-d'œuvre dans les plantations. D'abord à Sao Tomé, puis au Brésil et enfin dans les Antilles et sur les côtes américaines, après la quasi disparition des populations amérindiennes.

Bonne réponse !

L'exploitation du sucre a duré du XVI^e au XIX^e siècle. Elle représentait une véritable industrie.

Mauvaise réponse !

Des milliers de quilombos furent fondés au Brésil, accueillant des esclaves fugitifs. Ces communautés leur permirent de s'organiser et de résister, par la culture vivrière. En 2004, plus de 3 200 communautés quilombolas ont été officiellement reconnues.