Bonne réponse !

Elles représentent les rapports de force entre les individus. Il faut noter que le siècle des Lumières remet l'individu, la raison et la vertu au centre des interrogations philosophiques. Ces interrogations bouleversent le fond et la forme du théâtre tel qu'il était représenté jusqu'alors. 

Mauvaise réponse !

Le Théâtre des Champs-Élysées a été construit en 1913 et celui du Châtelet en 1860. Mais le théâtre du XVIII^esiècle vit surtout dans les foires.

Bonne réponse !

Zaïre, tragédie en 5 actes inspirée d'Othello, jouée pour la première fois le 13 août 1732 à la Comédie-Française, y  a connu un immense succès. 

Mauvaise réponse !

Le rire et la farce sont devenus totalement immoraux et inacceptables pour le public bourgeois. Les auteurs de théâtre écrivent désormais des comédies sérieuses et respectueuses de la morale. 

Mauvaise réponse !

Contrairement aux comédies classiques, l'intrigue des pièces de Marivaux ne repose pas sur des obstacles extérieurs à l'amour. C'est un théâtre plus psychologique. Les personnages s'expriment plus subtilement pour aborder leurs sentiments. C'est ce qu'on appelle le marivaudage. 

Mauvaise réponse !

Les comédies de Marivaux sont influencées de la commedia dell'arte. Les maîtresses et les maîtres se déguisent en domestiques, et inversement. Le théâtre de Marivaux prend ainsi une tournure politique, en mettant au devant de la scène le débat sur les classes sociales. 

Mauvaise réponse !

Les comédies de Beaumarchais étaient foisonnantes. On lui reprochait la longueur de ses pièces, si bien qu'après la première représentation du Barbier de Séville, en 1775, il est passé de cinq à quatre actes. Olympe de Gouges, quant à elle, traitait de l'esclavage dans ses pièces. 

Mauvaise réponse !

Dans le seconde moitié du XVIII^esiècle, Denis Diderot critique les fondements de la dramaturgie classique. D'après lui, il faudrait aller vers un théâtre qui se situe entre la tragédie et la comédie. C'est ce qu'il appelle le drame bourgeois. 

Mauvaise réponse !

C'est l'inverse. Selon Rousseau, le théâtre encourage les comédiens au mensonge plutôt qu'à la vertu. D'Alembert, dans sa lettre à Rousseau exprime sa vision du théâtre dans ces termes : « Ce sont des leçons utiles déguisées sous l'apparence du plaisir. »